Bonjour, Je trouve des choses approximatives mais la plus cohérente semble celle-ci : Nous prions le Dieu connu sous le nom de Sudarshana Vasudev Dhanvantari. Il tient la Kalasha pleine de nectar d'immortalité. Lord Dhanvantri supprime toutes les peurs et supprime toutes les maladies. Il est le bienfaiteur et le conservateur des trois mondes. Dhanvantari est comme le Seigneur Vishnu, habilité à guérir les âmes Jiva. Nous nous inclinons devant le Seigneur de l'Ayurveda.

Oui volontiers ! Bien entendu :-)

Merci Marie Gisèle ! <3

Bien des questions dans cette question ... toutefois, il nous appartient de faire ce que l'on veut avec notre propre vie (théoriquement et philosophiquement). Il n'est pas dit que vous "devez" vivre quoi qu'il arrive en portant toute vos souffrances physiques (maladies, altération du corps ...) ce qui est bien différent de ne pas supporter la vie telle qu'elle est au lieu de telle que nous la voudrions ... ici, nous sommes dans une souffrance mentale qui tient de la perception de la réalité vue par notre ego et nos illusions. Ce qui n'est pas la même chose que de devoir faire face à un état de santé physique / mécanique. La souffrance est également un mot générique qu'il faudrait définir car nous changeons régulièrement sa définition afin qu'elle corresponde avec nos idées du moment. Ce qui n'aide pas à notre cheminement puisque nous changeons toujours les règles de notre fonctionnement ... d'où ... la perte incessante de nos repères. La souffrance, comme la douleur, la vieillesse et la mort sont des éléments clés de la vie. Ce sont, grâce à eux, que l'on peut "savourer" toutes les autres périodes de notre vie. C'est également la première des quatre nobles vérités du Bouddhisme. La vie est souffrance. (ou plus précisément, la vie est perçue comme souffrance).

Merci Sabine, En fait, le travail de transcription a été fait sur la base du livre audio et non papier. J'avais fait un article qui donnait justement toutes les références mais je vais les ajouter en-dessous de chaque verset pour plus de transparence. Merci pour la remarque. :-)

Nous avons appris à "meubler" nos habitudes avec d'autres habitudes mentales en parallèle ... si nous avons appris dans un sens, il est alors possible de revenir, avec un même travail, à notre état d'origine :-)

L'Unité se "ressent" par la vibration plutôt que par la parole. Plus j'essai de parler, expliquer, démontrer, argumenter ... plus je m'éloigne de l'idée originelle. Nous sommes tous unique en soi et pourtant faisant partie d'un grand tout. Et le fait de se "sentir seule au monde" est une vue de l'esprit (sélectif) plus qu'une réalité. La paix et l'harmonie se situe dans le Tao pas dans notre ego ou celui des autres. :-)

Le vide n'est pas vide ... il est le générateur du potentiel infini de toute chose. De lui émerge tous les possibles et c'est à lui que tout retourne :-)

Prend le temps de tout lire et de te familiariser avec tous les textes. Car le question-reponse peut être long :-) Ce sont des personnifications plutôt que des entités a part entière. Comme le Dalaï Lama par exemple, il n'est pas un dieu, il est la personnification de la compassion. C'est une incarnation du Bouddha de la compassion ...

Le Yi-King est un ouvrage à part cat il est considéré comme le tout premier texte fondateur de la pensée chinoise donc antérieur il me semble. Tao Te King est le nom occidental du Dao De Ching, un titre phonétique traduit arbitrairement par les jésuites de l'époque. La traduction complète se rapprochant le plus serait bien : le livre de la voie et de la vertue.

La bienveillance doit être de rigueur envers toutes choses, toutes personnes, y compris soi-même. Si l'autre empiète sur mes besoins, il m'appartient de le lui dire avec toute ma bienveillance, car il n'en a peut-être pas conscience. Pourquoi devrait-il y avoir une limite à cette bienveillance ou encore au respect de soi ? De plus, j'irai jusqu'à demander pourquoi les mettre en opposition ou en concurrence ? De la bienveillance naît la patience puis la compassion.